Lignes directrices

Mission

  • Aider animaux et humains à cohabiter en harmonie,
  • Dans le respect des besoins fondamentaux propres à l’espèce en question.
  • Aider des individus d’espèces différentes, ne parlant pas le même langage, à se comprendre et à communiquer, pour mieux vivre ensemble.

Principes guidant notre pratique

  1. Mettre la sécurité du public avant toute chose.
  2. Considérer l’intérêt de l’animal en premier, tout en considérant l’intérêt de son humain en parallèle.
  3. Ne pas mettre ce qui nous ferait paraître bien comme professionnels avant l’intérêt de l’animal.
  4. Considérer l’individu, son âge, ses capacités physiques, son historique, son environnement, ses besoins en tant qu’espèce et en tant qu’individu.
  5. Ne pas faire à d’autres ce qu’on ne voudrait pas se faire faire à soi-même. C’est valide de la même manière qu’il s’agisse d’un humain ou d’un animal.
  6. Reconnaître lorsqu’un cas dépasse nos propres compétences et référer le client à quelqu’un de compétent en la matière.
  7. Adhérer à l’approche LIFE (Least Inhibitive, Functionally Effective) en modification de comportement. S’assurer que l’animal a réponse à ses besoins (santé, hygiène, diète, environnement, etc.). Mettre l’animal et l’humain en situation de succès facile. Reconnaître que le comportement a une fonction et prioriser l’encouragement des comportements que l’on veut voir se répéter plutôt que de punir ceux qu’on n’aime pas. En tant que membre du public, on punit parce on manque de compétence dans le moment et en désespoir de cause, ne sachant pas quoi faire, on essaie de dire à l’autre être vivant d’arrêter ce qu’il fait. En tant que professionnels, nous sommes outillés pour réagir de façon plus compétente aux comportements qu’on veut modifier. (Pour plus d’information sur l’approche LIFE, cliquez ici.)
  8. Ne pas utiliser la douleur comme technique d’entrainement. (La douleur peut cependant être impliquée dans l’entrainement lors de procédures de soins de santé telles que des prises de sang, mais elle n’est pas utilisée comme outil afin d’obtenir des comportements ou d’en réprimer d’autres.)
  9. Ne pas utiliser la menace comme technique d’entrainement.
  10. Lorsqu’un aversif est incorporé dans le cadre d’un protocole d’entrainement, c’est dans le but de lui faire perdre sa qualité aversive en donnant le contrôle à l’animal de cet aversif (coupe-griffe, étranger, etc.)
  11. Ré-évaluer l’efficacité des méthodes employées et s’ajuster en fonction des données collectées.
  12. Un échec représente une occasion d’améliorer nos méthodes, de reconsidérer la façon dont on présente la matière, de parfaire nos techniques.
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